JAC n°247/Mai 2025
EDITO : LA CONSECRATION DE LA RECONNAISSANCE DE LA VICTIMISATION SECONDAIRE, C. Lienhard CHRONIQUE DU DOMMAGE CORPOREL, DU DROIT DES VICTIMES ET VICTIMOLOGIE, C. Lienhard et C. Szwarc LA PAROLE VICTIMAIRE DE L’AVOCAT DE LA…
EDITO : LA CONSECRATION DE LA RECONNAISSANCE DE LA VICTIMISATION SECONDAIRE, C. Lienhard CHRONIQUE DU DOMMAGE CORPOREL, DU DROIT DES VICTIMES ET VICTIMOLOGIE, C. Lienhard et C. Szwarc LA PAROLE VICTIMAIRE DE L’AVOCAT DE LA…
LES LIENS ENTRE ETHIQUE ET DROIT, L’EXEMPLE DE LA QUESTION ANIMALE, sous la dir. de L. Boisseau-Sowinski et D. Tharaud, Ed. L’Harmattan, coll. « Le droit aujourd’hui », 2019 Cet ouvrage est le fruit d’un…
Eric DESFOUGERES Maître de conférences (H.D.R.) Membre du CERDACC Veille des publications juridiques sur le risque Finalité de la Veille des publications juridiques sur le risque : Cette rubrique vise à fournir aux lecteurs du JAC…
Le numéro du mois de mai de l’APEV : A LIRE ICI Le 15 avril dernier, dans les salons du Ministère de la Justice, Alain Boulay, Président de l’APEV, Vice-Président de Paris Aide aux Victimes,…
COMPTE-RENDU DU COLLOQUE DU 6 DECEMBRE 2018 « LA SECURISATION DES INFRASTRUCTURES DE TRANSPORT », CAMPUS FONDERIE MULHOUSE, 1ère partie Nathalie Arbousset Ingénieur d’études au CERDACC Bertrand Pauvert, Maître de conférences à l’Université de Haute-Alsace, organisateur du colloque…
Nathalie Arbousset Ingénieur d’études au CERDACC Compte-rendu de la conférence donnée par le professeur Donato Castronuovo à La Fonderie dans le cadre du Master 2 Droit de la prévention des risques et responsabilités le 11…
Brigitte Lescuyer
Maltraitances. Évolutions, chantiers à promouvoir, ASH, avril 2019
Les ASH consacrent le numéro spécial du mois d’avril aux maltraitances. Après avoir donné la définition de la maltraitance, Brigitte Lescuyer fait le point sur les nombreux dispositifs législatifs qui sont mis en place en la matière, s’agissant des enfants, des femmes, des personnes en situation de handicap et des personnes âgées. Constatant leurs insuffisances, elle propose de nouvelles stratégies après avoir fait témoigner des professionnels de terrain et des experts et noté que le phénomène de maltraitance est globalement sous-évalué. Dans son analyse, elle tient compte également des difficultés et souffrances des personnels qui déplorent un manque de moyens et de temps ainsi que des plannings inadaptés. Il s’agit avant tout de comprendre la maltraitance pour pouvoir tenter d’anticiper pour mieux maîtriser les outils et ensuite mieux gérer les situations. Parmi les orientations à promouvoir, en particulier dans la sphère sociale, il est d’abord important de construire une approche relationnelle de qualité avec la personne victime mais aussi avec la personne considérée comme agresseur. Ensuite, il faut améliorer la protection des personnes face à des situations de maltraitance mais aussi celle des personnes qui informent des faits de violence, en particulier les lanceurs d’alerte. Il faut enfin proposer des projets personnalisés et davantage parler de ce phénomène qui est trop souvent encore un sujet tabou. Qu’il s’agisse de maltraitances à domicile ou de maltraitances institutionnelles, le maître mot doit être tolérance zéro ! Il est temps de faire le bilan sur les pratiques, afin de voir si le concept de « bientraitance » est parvenu à faire changer les pratiques et à endiguer tant les violences que les maltraitances.