CHRONIQUE DU DOMMAGE CORPOREL, DU DROIT DES VICTIMES ET VICTIMOLOGIE,...

Claude LIENHARD Avocat spécialisé en droit du dommage corporel, Professeur émérite de l’Université Haute-Alsace, Directeur honoraire du CERDACC (UR 3992) et Catherine SZWARC Avocate spécialisée en droit du dommage corporel   I.- Droit du dommage corporel…

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DROIT DU DOMMAGE CORPOREL, Cl. Lienhard et C. Szwarc

HALTE AUX BAREMES Claude Lienhard – Professeur des Universités, avocat spécialiste en droit du dommage corporel Catherine Szwarc, avocat spécialiste en droit du dommage corporel   Deux décisions récentes par le Tribunal de Grande Instance…

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EDITO : REGRETTABLE, C. Lienhard

EDITO REGRETTABLE La nomination du nouveau gouvernement consacre  définitivement la disparition d’un secrétariat à l’aide aux victimes dans une lisibilité et fonction politique. La disparition concomitante du secrétariat général de l’aide aux victimes rattaché auprès du…

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JAC n°167/Juin 2017

JAC n°167/Juin 2017

EDITO : LA GOUVERNANCE DE L’AIDE AUX VICTIMES : AVANCEES ET QUESTIONNEMENTS DROIT DU DOMMAGE CORPOREL, Cl.Lienhard et C. Szwarc ASSURER UN TOIT AUX VICTIMES DE VIOLENCES CONJUGALES,  PREMIER JALON D’UNE PROTECTION EFFICACE ET PERENNE,…

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IGNORANCE SCIENTIFIQUE ET INACTION PUBLIQUE. LES POLITIQUES DE SANTE AU TRAVAIL, E. HENRY

IGNORANCE SCIENTIFIQUE ET INACTION PUBLIQUE. LES POLITIQUES DE SANTE AU TRAVAIL, E. HENRY Editions SciencesPo Les Presses 2017 Par Valentine Erné-Heintz, Maître de conférences en sciences économiques, CERDACC Ce livre place au cœur du débat…

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DEPAKINE, LE SCANDALE, JE NE POUVAIS PAS ME TAIRE, MARINE MARTIN

DEPAKINE, LE SCANDALE, JE NE POUVAIS PAS ME TAIRE, MARINE MARTIN Préface d’Irène Frachon Editions Robert Laffont, 2017 Marine Martin est une lanceuse d’alerte. C’est grâce à son courage et à sa persévérance qu’elle est…

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Le mardi 27 juin 2017, Bertrand Pauvert et Muriel Rambour ont organisé un colloque sur « Tourisme, sécurité et catastrophes » à l’IPAG de Paris II. Nous remercions vivement M. le professeur Gohin de nous avoir accueillis dans ses locaux ainsi que le personnel administratif pour sa disponibilité et sa gentillesse. Nous remercions également nos partenaires (ENSOSP, SETO et AFDSD), le ministère des affaires étrangères, les forces de sécurité, l’UHA, la mairie de Mulhouse, les tours opérateurs et les intervenants pour leur contribution à la réalisation de ce colloque et à la qualité des échanges.

D’ici la fin de l’année, l’intégralité des actes de ce colloque seront publiés aux Editions Varennes.

Ces quelques lignes se proposent donc de mettre en lumière quelques idées-forces qui sont ressorties de cette rencontre.

Le tourisme est dans une situation particulière. En visite dans un lieu pour son agrément, il ne pense pas aux risques naturels, technologiques ou terroristes qui pourraient le toucher.

La question de l’information du touriste sur l’existence d’un risque a été longuement évoquée. En France, le quai d’Orsay diffuse des informations sur la dangerosité des destinations, sur la nature des risques existants mais toujours dans un langage qui mêle à la fois le souhait de prévenir le danger et de ne pas entraver la liberté de circulation. On voit alors poindre la difficulté de dissuader une personne de se rendre sur les fronts de guerre, dans des pays où l’enlèvement d’occidentaux est une activité courante dès lors que des vols, vers ces destinations, sont organisés par des compagnies aériennes.

La question de l’information du touriste une fois sur place a été également abordée. Le touriste étranger ne bénéficie pas d’un statut particulier. Bien souvent l’information sur les risques locaux n’existe pas, et si elle existe, de deux choses l’une, ou bien le touriste la néglige et n’en prend pas la mesure ou bien elle n’est pas traduite dans sa langue maternelle. Le barrage de la langue constitue, en conséquence, un obstacle majeur. C’est d’ailleurs de ce côté que des efforts ont été entrepris notamment en France. Ainsi il existe un partenariat entre la sécurité publique de Paris et l’Institut des langues orientales de Paris afin qu’un interprète dialogue avec les touristes de nationalité coréenne, japonaise ou chinoise victimes d’une agression.

Il convient donc de repenser la place du touriste à l’aune du risque. C’était précisément le sujet de ce colloque.

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