EDITO : L’IMAGE, LE DISCOURS ET LE SON, C. Lienhard
Claude LIENHARD Avocat spécialisé en droit du dommage corporel, Professeur émérite de l’Université Haute-Alsace, Directeur honoraire du CERDACC (UR 3992) Nous avons encore en mémoire les images du roi d’Espagne, maculé de boue, et de…
CONFERENCES-CYCLE 2021″JUSTICE ENVIRONNEMENTALE : LE DEFI DE L’EFFECTIVITE », Paris
Conférences et cycle 2021 Justice environnementale : le défi de l’effectivité Les institutions judiciaires mais plus encore le droit de l’environnent sont désormais bousculés par la question de l’effectivité du droit, c’est-à-dire l’urgence d’une application…
COLLOQUE « DECHETS ENERGIES EAUX. REQUALIFICATION DES RESSOURCES A L’HEURE DE LA TRANSITION ECOLOGIQUE », 8/9/10 septembre 2021 Amiens
Dans une perspective transversale, ce colloque a pour ambition de se pencher sur la manière dont s’est construite, à travers ces trois thèmes, la transition écologique. À l’heure de l’environnementalisation croissante de la gestion des…
CONGRES « RESILIENCE DE LA WALLONIE FACE AUX RISQUES ENVIRONNEMENTAUX », 23 septembre, 2 et 3 décembre 2021, Mons (Belgique)
Les travaux relatifs à ce Congrès seront lancés le 23 septembre , et le Congrès aura lieu les 2 et 3 décembre 2021 . Les objectifs de ce congrès sont les suivants : * Établir…
Faut-il avoir peur de l’intelligence artificielle ? Cette interrogation est dans tous les esprits, alors que l’ampleur de ses applications reste encore méconnue. Les contours de l’intelligence artificielle demeurent relativement flous. Sans compréhension de l’outil, toute approche scientifique s’avère périlleuse. La détermination des caractéristiques essentielles de l’intelligence artificielle doit permettre de réduire la part d’angoisse qui entoure le sujet et d’aborder ses différents enjeux politiques, éthiques, sociaux, économiques et juridiques. L’aborder sous l’angle du droit, c’est tenter de démontrer que la norme juridique peut en canaliser les dangers et décrire comment le droit peut en réguler les effets. Les juristes se présentent à l’égard de l’intelligence artificielle comme les « chiens de garde » des valeurs fondamentales et des droits fondamentaux qui structurent notre société. L’intelligence juridique doit pouvoir maîtriser l’intelligence artificielle. Face à l’intelligence artificielle, l’intelligence juridique devra s’allier à l’intelligence humaine pour en optimiser les effets et en canaliser les méfaits. Ce cycle doit permettre d’apprécier de quelle manière l’intelligence artificielle met à l’épreuve la structure fondamentale des droits.